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Nous passâmes la journée, mon ami et moi, à jouer à l'ordinateur puis à nous promener aux alentours de son village, mais il ne se passa pas un moment sans que je repense à cette partie de Monopoly. Quand vint le soir, les parents rentrèrent et nous mangêames. Tous bien fatigués, nous sommes partis nous couchés. Je dormais dans la même chambre que mon ami, sur un lit de camp. Vers onze heures, il me prit l'envie d'aller aux toilettes et je m'avançais dans le couloir blanc qui traversait toute la maison quand j'entendis des halètements saccadés. Je m'approchait doucement de la porte de la chambre de Stéphanie et regarda à travers l'entrebaillement de celle-ci. La porte de Stéphanie n'était jamais complètement fermée à cause d'un fil de sa lampe de table de nuit qui était raccordé à une prise du couloir.
J'attendis que mes yeux s'habituent à la pénombre et je découvrit alors Stéphanie, les yeux fermés, une main sur sa poitrine et et l'autre sous sa robe. Elle se pinçait les tétons, la faisant lâcher des petits couinements. Cette scène dura plusieurs minutes. Je vis alors, à quelques centimètres de la porte, la culotte blanche de Stéphanie, posée sur le sol. Je me baissais le long du chambranle et tendit le bras pour saisir ce tissu sacré. Je referma mes doigts sur la dentelle et tira le sous-vêtement à moi. Il me vint l'idée de lui lancer sur le lit pour qu'elle remarque ma présence, mais une seconde autre idée vint alors dans mon esprit et je décidai de continuer ma route vers les toilettes, laissant le temps à Stéphanie de se remettre de ce moment d'intense émotion. Les toilettes se situaient juste entre la chambre des parents et la sienne, au bout opposé du couloir où se trouvait mon ami. Une fois dans les toilettes, j'en profitai pour me branler silencieusement, en pensant à la jeune fille dans son lit.
Puis, d'un coup sec, je tira la chasse d'eau et sortit rapidement et silenciseusement des toilettes. Je me précipitai vers la porte de la Stéph et la vit assise au sol, en train de chercher vainement son sous-vêtement. Quant à moi, je retournai dans mon lit, rangeant dans mon caleçon la culotte de la soeur de mon meilleur ami.